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1. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). V. La littérature et l"opinion publique après le 14 décembre 1825 ( V. Литература и общественное мнение после 14 декабря 1825 года )
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1. Du développement des idées révolutionnaires en Russie (О развитии революционных идей в России). V. La littérature et l"opinion publique après le 14 décembre 1825 ( V. Литература и общественное мнение после 14 декабря 1825 года )
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Часть текста: décembre 1825 ( V. Литература и общественное мнение после 14 декабря 1825 года ) V. La littérature et l'opinion publique après le 14 décembre 1825 Les vingt-cinq années qui suivent le 14 (26) décembre sont plus ditficiles à caractériser que toute l'époque écoulée depuis Pierre Ier. Deux courants en sens inverse, l'un à la surlace, l'autre à une profondeur où on le distingue à peine, embrouillent l'observation. A l'apparence, la Russie restait immobile, elle paraissait même reculer; mais, au fond, tout prenait une face nouvelle, les questions devenaient plus compliquées, les solutions moins simples. A la surface de la Russie officielle, «de l'empire des façades», on ne voyait que des pertes, une réaction féroce, des persécutions inhumaines, un redoublement de despotisme. On voyait Nicolas entouré de médiocrités, de soldats de parades, d'Allemands de la Baltique et de conservateurs sauvages, lui-même méfiant, froid, obstiné, sans pitié, sans hauteur d'âme, médiocre comme son entourage. Immédiatement au-dessous de lui se rangeait la haute société qui, au premier coup de tonnerre qui éclata sur sa tête après le 14 décembre, avait perdu les notions à peine acquises d'honneur et de dignité. L'aristocratie russe ne se releva plus sous le règne de Nicolas, sa fleuraison était passée; tout ce qu'il y avait de noble et de généreux dans son sein était aux mi-Qes ou en Sibérie. Ce qui restait ou se maintint dans les bonnes grâces du maître, tomba à ce degré d'abjection ou dе servilisme qu'on connaît par le tableau qu'en a tracé M. de Custine. Venaient...

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